Youpi : Black Metal ist Bier !
Certains écrivent des blogs de cuisine, d’autres des blogs de mode, ou encore des blogs de lecture. J’annonce fièrement la création du premier blog dédié à la bière et au black metal, deux de mes plus grandes passions (les autres ne concernent pas ce blog).
Je consacrerai donc les billets de ce journal — qu’Internet me donne la possibilité de publier (loué soit-il, sinon j’aurais du garder ces aventures passionnantes pour moi-même, ou pire, les envoyer par la Poste à mon cercle de fans) — à ces deux encombrantes passions (d’autant qu’elles vont souvent de paire). J’ai un projet idiot et ambitieux : exporter le black metal dans le monde entier par le biais de photos très dark prises dans tous les endroits où j’ai eu l’occasion de me rendre. En voici donc une en avant-première, à la Bernerie-en-Retz — on ne peut plus black metal, donc.
(Merci à Clémence pour la photo !)
Et pour ce premier billet (puisque ce blog se veut satirique et divertissant, pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, même s’il est bien entendu que le black metal et la bière sont des sujets très sérieux mais que j’ai choisi de traiter avec humour), je vous propose la retranscription approximative d’une de mes plus belles interventions sur ce genre de musique qui me tient tellement à cœur. Je remercie tout particulièrement la Grimbergen pour son soutien qui m’a permis d’exprimer ce en quoi consistait l’essence du black metal lors d’une soirée avec un ami dont je tairai le nom pour préserver sa réputation, et où la bière (encore elle) nous incita à nous exprimer dans la langue de Shakespeare (également approximative, pour ma part).
« You see... Black metal is...everything. You know, when you look at the sky and you see the stars, that is black metal. Black metal is the feeling of the totality, this is you and the universe melted, you can feel the whole world taking you away. Black metal is essentially cosmic. The powers of nature overwhelming your soul. It is sacred, almost religious in a pagan way. It is about the emptiness, the vast solitude of man under the stars. »
Je ne peux que terminer ce billet par un titre illustrant ce black metal cosmique :